ART BRUT ET VOISINAGE

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Madeleine Chave serait heureuse de votre présence à l’inauguration de l’exposition

ART BRUT ET VOISINAGE
Les Inclassables
Autodidactes
Bricoleurs de génie
Visionnaires

L’exposition Art Brut et voisinage, revisitée, continue jusqu’à la fin de l’année.

En parallèle, la galerie participe aux expositions suivantes :
« J’aurai la peau des choses – une rétrospective : LOUIS PONS » du 5 novembre 2022 au 26 février 2023 à l’Espace Lympia, 2, quai d’Entrecastaux – Nice.
La galerie présente l’œuvre de Louis Pons depuis 1952. En 2019, une grande rétrospective, organisée par Pierre Chave, eut lieu dans les nouveaux locaux du 12, rue Isnard.

Du 17 décembre 2022 au 23 avril 2023, le musée de Vence, Fondation Hugues, présente
Galerie Chave, 75 ans de passion
Ce sera également un hommage au travail de Pierre Chave qui a dirigé la galerie pendant 45 ans de 1975 à 2020.

Autodidactes, bricoleurs de génie, visionnaires
Inclassables

Aloïse, Rose Aubert, Jacqueline B., Patrick Balivet, Cila-Aleu, André Cipriani, Gilles Cornée, Georges Demkin, Dominique, Madeleine et Marthe Estibotte, Juan Ferrer, Michèle Gazannhes, Albert Geisel, Jules Godi, Marthe Isely,
Eugène Leduc, Raphaël Lonné, Marcello Modrego, Jean-François Ozenda, Francis Palanc, Pascal Verbena.
Boris Bojnev, Gaston Chaissac, Philippe Dereux, Eugène Gabritschevsky, Georgik, Jim Gore, Danielle Négro, Grégoire Thomas, Louis Troncy.

De 1959 à aujourd’hui
ART BRUT ET VOISINAGE

En août 1959, était inaugurée à la galerie Alphonse Chave une exposition d’Art Brut. Alphonse Chave y présentait les œuvres qu’il avait glanées dans son environnement immédiat. Jean Dubuffet avait écrit la préface du catalogue. Il s’agissait de la première exposition de ce genre présentée dans une galerie, après celle organisée à la galerie René Drouin à Paris en 1949.

Les « inclassables », souvent à la croisée des chemins entre art brut et surréalisme, restent au cœur de l’intérêt de la galerie. Certains n’ont ni repères culturels, ni formation artistique préalable. D’autres vivent enfermés dans leur univers mental ou des mondes à part, auxquels nous n’avons accès que par la voie de leurs créations.

Ces inventions fragiles et fugaces, réalisées en dehors des normes, ne peuvent être abordées qu’avec la plus grande précaution. Ce ne sont pas des « curiosités », ce sont des œuvres qui sont les émanations de l’être profond d’artistes qui ont un besoin ardent et impérieux de s’exprimer.

Dernier volet du cycle des expositions Tour d’horizon.